Nous poursuivons notre découverte du grand sud avec le parc national de la rivière bleue. Les mêmes terres ocres et rouges au pied d’une végétation de steppes dont la palette des verts semble infinie.
La rivière surgit au détour d’un virage. Assez peu fournie en cette saison, nous découvrons les troncs blancs et gris des chênes gommiers étêtés (morts) qui ont les pieds dans l’eau : la fameuse forêt noyée.
Dommage, il n’y a plus de navette pour aujourd’hui ! Il n’est que 10H ???? Oui mais il y a eu des groupes et ils passent la nuit dans le parc ! Et ils sont arrivés sans prévenir ce matin ???? Ne pouvait-on pas prévoir un renfort pour aujourd’hui ? Visiblement non !!! Zen ! « Casse pas la tête ! »
Nous nous appliquons cette maxime qui a beaucoup de succès localement ! Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, nous nous dirigeons vers la partie rivière blanche du parc qui permettra pique-nique à l’ombre et baignade, pour le plus grand plaisir des enfants (et des plus grands).
Nous avons du mal à arracher les enfants à la rivière. Ils s’amusent comme des petits fous !
Il faut rentrer, nettoyer la voiture, faire le plein et surtout gérer les bagages ! Bienvenue dans les îles, la franchise bagage diminue de moitié pour les adultes et du quart pour les enfants ! Heureusement, Marc, qui nous a loué son appartement à Nouméa, nous propose de nous garder des bagages jusqu’à noter retour. Ouf ! un supplément bagage évité !
Nous en profitons pour trier ce qui repart dans l’immédiat direction la métropole : les souvenirs divers et variés ! et ce qui repartira à notre retour des îles ! La soirée passe bien vite !
