Réveil sous la pluie ! Il fait froid ! Ce n’est pas l’été ici, demandent les enfants ? Si, si mais c’est très pluvieux comme pays, surtout l’île Sud….
Départ pour la péninsule d’Otago et la colonie d’albatros royaux. Une accalmie a lieu au moment où nous y sommes. Parfait ! C’est l’heure du déjeuner donc peu de monde et pas de bus 😉
Comme il fait mauvais et qu’il y a du vent, les albatros sont en mouvement plus tôt que prévu dans la journée. Après un topo explicatif sur l’animal, sa croissance et son habitat, nous avons l’immense chance de voir deux adultes avec leur bébé (les couples s’occupent alternativement de leur progéniture…) et d’autres adultes atterrir et voler. L’observation à la jumelle dans une cabine en hauteur à proximité de leur habitat est un moment privilégié.
Nous repartons heureux de cette visite consacrée à cet animal majestueux. Comme il est déjà tard, nous zappons Dunedin et son musée pour aller à la rencontre des Moeraki Boulders.
Le temps est maussade mais tant pis. Entre particularité géologique ou œufs de dinosaures fossilisés, nous devons aller nous rendre compte par nous même. Coup de bol, la marée est remontante, les boulders sont encore bien visibles. Avec le mauvais temps, c’est presque mystique !!!
Nous revenons vite à la réalité avec la chute d’Héloïse sur la tête, point de départ les épaules de Papa !!! Le moment de panique et les hurlements passés, nous sommes de retour au camping-car avec en perspective une bonne lessive à faire pour dessabler nos blousons et pantalons !!! et vu le temps qui s’annonce nous n’allons pas pouvoir nous en passer !
Nous poursuivons notre route jusqu’à Géraldine. Les enfants, plutôt de bonne composition, jouent au niveau des places assises ou dorment dans le lit fixe au fond.
Nous arrivons à près de 21h au camping qui, comme le précédent, ferme toutes les infrastructures à 22H !!! C’est horripilant et on se garde bien de vous le dire avant que vous n’arriviez. Les blogueurs eux-mêmes en parlent peu et c’est quand même un vrai fléau (comme les sandfly !!!).
La météo des jours à venir nous déprime, la pluie ne cesse de tomber…. Nous nous réconfortons en pensant qu’il y a pire : les campeurs sous tente doivent vivre un calvaire.
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